Développer l’activité, décrocher de nouveaux projets et renforcer nos positions en France : l’exportation de nos solutions à l’étranger est un choix hautement stratégique, largement motivé.
Des marchés limitrophes
À l’instar d’Irian Mecatronics, identifiée à l’international, notre PME exporte aussi son savoir-faire à l’étranger depuis plusieurs années. Nous avons, par exemple, géré la régulation des Universités d’Anvers et de Mons en Belgique, celle du Parc Scientifique de Barcelone (Parc Científic de Barcelona) en Espagne ou encore celle de l’Université de Sienne (Palazzo del Rettorato) en Italie.
“En France, nos solutions sont largement identifiées – la marge de progression est structurellement limitée. Investir de nouveaux marchés, tels que le Benelux, l’Italie, l’Espagne ou encore la Suisse offre de nouvelles perspectives de développement à notre entreprise” explique Thomas KATZ, CEO.
Plus récemment encore, nous avons introduit nos technologies sur le marché suisse. En 2022, nous avons été chargés d’assurer la gestion aéraulique des laboratoires et des salles propres d’un nouveau bâtiment pour Merck, à Aubonne (Vaud). Une première, qui nous a rendu particulièrement fiers car la Suisse constitue un marché à haut potentiel. Avec des technologies de pointe, des infrastructures idéales et de la main d’œuvre qualifiée, l’industrie de la Confédération est largement spécialisée dans les produits à haute valeur ajoutée.
“Ces nouveaux marchés sont intéressants pour nous, parce qu’ils sont majoritairement francophones et géographiquement proches. Ils concentrent aussi un grand nombre d’acteurs sur un territoire réduit” complète Thomas. La maturité du marché est aussi un critère déterminant : la commercialisation de notre solution Irian Lab nécessite un niveau important de technicité comme c’est le cas en Suisse, par exemple.
Des performances globales en hausse
L’impératif de la technicité ne s’impose toutefois pas à l’exportation d’Eolis, notre solution de traitement du confort et de désinfection. “Eolis se prête à des marchés plus vastes et moins développés. L’export est techniquement plus facile et moins coûteux. On peut aussi se rapprocher d’intermédiaires et mettre en place des partenariats de distribution. Cela fait partie de nos axes de développement pour les prochaines années.” explique Thomas.
Si investir des marchés étrangers est opportun pour soutenir économiquement l’activité, c’est aussi une réussite collective qui impacte positivement nos performances globales. Véritable reconnaissance, gage de qualité et de confiance, exporter nos solutions honore le travail quotidien de R&D, renforce par réciprocité nos positions sur le marché français et nous permet de nous positionner sur de nouveaux projets.
C’est notamment le cas du projet Sky, mené avec Merck à Aubonne, qui nous a permis d’être identifiés par d’autres bureaux d’études suisses. De nouveaux projets sont ainsi actuellement à l’étude, pour le compte de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) ou encore des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).